Auto-portrait de Bosc datant de 1949 ou 1950. Il avait pensé un moment à s'inscrire à l'école des Beaux Arts de Montpellier, suivant en cela sa soeur Renée qui y était restée 2 ans.

Flora Bosc, née Bonnevide. La mère de Jean Maurice Bosc était originaire du Vigan, en Cévennes. Ce croquis d'une ressemblance extraordinaire date de 1950, lorsque Bosc cherchait une direction à prendre, entre musique et peinture.

              Le mas de Causse tel qu'il était lorsque Bosc était adolescent. Sur la gauche, le puits qui est toujours là, mais sans le bras de bois au dessus, car l'électricité a depuis longtemps remplacé la mule qui tournait pendant des heures autour du puits pour irriguer les champs alentours.

                Entre le mas et le puits, l'énorme arbousier qui est mort frappé par la foudre dans les années 50 et qui depuis a été remplacé par un tout aussi énorme bélicoquier.

              Le mas qui a été agrandi par le père de Bosc sur les deux côtés, se composait d'une moitié à droite pour la famille, et la moitié de gauche divisée entre l'écurie et les hangars de stockage des charrettes. Tel qu'il était à l'époque de ce dessin, le mas n'avait qu'une seule chambre à l'étage, plus un couloir large qui servait de chambre pour Bosc et sa sœur Renée et qui comportait l'unique lavabo où toute la famille se lavait après avoir chauffé l'eau dans la cuisine en bas.

            Sur la droite du dessin, on voit le mazet du président de la république Gaston Doumergue, que le père de Bosc avait en métayage. On voit la partie avec un toit plus bas, qui servait d'écurie aux chèvres, puis la partie plus grande qui était un dortoir pour les étudiants d'une petite école privée du quartier de Garrigouille.

	Dans cette esquisse de cheval, tout comme dans le portrait de sa mère, on voit nettement l'habilité de Bosc, déjà présente pendant son adolescence, à transcrire l'essentiel d'un être ou d'un objet d'un seul coup de crayon.

Ci-dessous, un portrait de Brassens dessiné vers 1950 :

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