A l'occasion de la sortie du n° 9 de "Papiers Nickelés", comprenant un bel article sur Bosc,

nous avons pensé bien opportun d'exposer Bosc au café animé "La mer à boire",

et de réunir en même temps les amis fidéles de Papiers Nickelés, de Bosc,

et de ce café-galerie qui a pris et prend toujours tant de risques pour

promouvoir le dessin d'humour et la Liberté d'Expression.

Ci-dessous, le carton d'invitation :

 

 

 

 

Visite du site de "la mer à boire" : http://www.la.meraboire.com/

Ci-dessous, un article trouvé sur le site d'un musée de Milan, dans lequel Martin Plimmer nous apprend que Bosc est décédé en 1965 (au lieu de 1973), à l'age de 41 ans (au lieu de 49); qu'il a fait 120 jours de prison chez les Vietcong ( Bosc avoue lui-même ne jamais en avoir vu un seul!) et qu'il a été un clown dans un cirque !

LA FONDAZIONE – Associazione Franco Fossati – Museo del fumetto e della comunicazione
sede operativa: via Montegrappa 35, Muggiò (Milano), foxyfond@tin.it

EXPO BOSC Du 19 juin au 6 août 2006 Vous ne connaissez pas la Mer à Boire, ce café dédié au dessin et à la bande dessinée ? Alors, profitez de l'expo consacrée à BOSC pour y faire un saut. Dessinateur d'humour, père du célèbre personnage Blaise le Boscave, Jean-Maurice Bosc a collaboré à bon nombre de titres de la presse française et étrangère. La Mer à Boire rend un bel hommage à l'auteur décédé en y exposant ses oeuvres, dont certaines sont inédites. Mer à Boire - 1/3, rue des Envierges - 75020 PARISPlus d'infos

Martin Plimmer on Jean-Maurice Bosc
Independent, The (London), Feb 13, 1999 by Martin Plimmer
LARRY (TERENCE Parkes) has sent me two books by his favorite cartoonist, Jean-Maurice Bosc, a Frenchman who found fame in his own country and recognition abroad (Punch, Esquire etc), but committed suicide in 1965, at the age of 41. Larry first saw Bosc's work in The Guardian Educational Supplement in the 1950s, while working as an art teacher. "He influenced me more than anything," he says. "I still find him the greatest." Like many new cartoonists of the time, Larry was struck by Bosc's captionless economy and innovatory simplicity, which at times reduced characters to tiny, childlike squiggles. Bosc used these naive figures to express the chilly ironies which preoccupied him. It's not surprising to learn the Frenchman led a hard life. He fought in the Indo-China war, during which he won the croix de guerre and spent 120 days in a Vietcong prison. Nor is it surprising to learn that he served time as a circus clown, another occupation epitomizing extremes of comedy and sadness.

 

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